C'est vraiment un temps à boire une bière des ours!!!
Des fois je me dit que l'hibernation n'est pas une mauvaise chose... c'est vrai en ce moment j'ai vraiment du mal à me lever! Déjà que en tant normal je vous dis pas, mais là j'ai l'impression que si je m'écoutais je pourrais rester 14h00 au lit et encore il faudra que je me file des coups de pieds au cul pour me bouger ensuite!
Alors ce matin dans un ultime effort je me suis traîné jusqu'au lecteur CD et j'ai inséré une galette de Metallica... et là: LA PATATE POUR LA JOURNEE!!!
En plus c'est vrai que dernièrement j'écoute moins de ziq et c'est pas bon pour mon moral (rien à voir avec la compagnie créole), et ce qui me chiffonne aussi c'est que depuis que j'ai fini ma maquette mon inspiration musicale s'est fait la malle!!!
J'ai du mal à m'y remettre et quand j'ai une idée je la trouve fade, insipide... Bref c'est la panne sèche, mais je ne m'inquiète pas trop c'est déjà arrivé auparavent et pendant plusieurs mois même, alors pour me stimuler j'écoute et j'écoute encore, tout et n'importe quoi.
Heureusement j'ai quand même encore de l'inspiration pour créer même si ce n'est pas musicale!!! Alors voilà le deuxième épisode des aventures de Dude et Walter!!!
Programme de la journée: regarder, par la fenêtre de mon bureau, les flocons de neige tomber...
A DONNY episode 2:
« -Très drôle Walter !! C’est à mourir de rire ! C’est pas toi qu’on à menacé de te les couper !!
-Du calme Dude, rappel toi on leur à fait bouffer leur dents à ces putains de nihilistes !!! Ils sont pas près de revenir ! Hahaha, n’empêche que si y’en avait un qui se pointait ça me ferait un peu d’exercice !!!
-Peut être… mais c’est à ce moment là qu’on à perdu Donny… je me demande ce que nous veut ce maître Truc. »
Dude rappela maître Rolin, puis après un café bien tassé, Walter et lui décidèrent d’aller récupérer la camionnette sur le parking du bowling. Il fallut 10 bonnes minutes à Walter pour remettre le volant à sa place, pendant ce temps là Dude s’en roula un petit.
Le bureau de maître Rolin était dans le centre ville de Los Angeles, dans les quartiers chics, un beau bureau dans une grande tour couvertes de vitres.
Walter gara la camionnette devant la tour, une fois hors de l’engin il faillit mordre une petite vielle. Cette pauvre femme avait eu la mauvaise idée de lui dire qu’il n’avait pas le droit de se garer à cet endroit. Walter continuait d’apostropher la petite vielle, pendant que celle-ci détalait, en lui faisant remarquer qu’il ne s’était pas battu dans les rizières pour qu’on lui dise une fois rentré au pays ce qu’il avait le droit et pas le droit de faire.
« -Tu trouve pas que c’est louche cette histoire Dude ? Donny nous à jamais parlé de ça ! Et puis ici ça pu le fric ! Donny avait pas un radis ! Si ce putain d’enfoiré de maître à la con essaye de nous baiser, laisse moi te dire qu’il est tombé sur les mauvais pigeons !!!
-Du calme Walter, allons voir ce qu’il à a nous dire. Et fais pas de scandale s’il te plaît.
-Hein !!! Quoi, comment tu peux !? Grrr….Enfin je sais me tenir Dude ? Qu’est-ce que tu insinue par pas de scandale !?
-J’insinue rien Walter, j’insinue rien du tout, répondu Dude d’une voix qui transpirait un certain agacement.
-N’empêche que c’est louche ! Donny nous avait pas prévenu !
-Il n’a peut être pas eu le temps. Et puis Donny ne disait jamais rien de toute façon…
-Oui c’est vrai qu’il était pas très bavard, j’ai jamais compris pourquoi, dit Walter »
Dude et Walter, une fois devant l’accueil, demandèrent à parler à maître Rolin.
Une hôtesse leur lança un regard, qui en disait long sur ses pensées, avant de passer un coup de fil.
Il faut préciser que Dude n’était pas du genre à faire d’effort vestimentaire, et pourtant il avait troqué ses sandales de plage en plastique transparent contre des mocassins style chaussures bateau qui étaient pour lui le summum de la classe. Walter quand à lui avait gardé ses habits de la veille, bermuda, gilet à poches style chasse et pêche, et docks venu directement du stock de son magasin.
« -Maître Rolin va vous recevoir de suite, je vais vous conduire, précisa l’hôtesse après avoir raccroché le combiné.
-Encore heureux !! On est pas venu là pour enfiler des perles ! dit Walter. »
Le bureau de maître Rolin était à l’image de la tour et du quartier, luxueux. Un homme d’une quarantaine d’années était assis derrière un bureau, il consultait divers documents et fit signe aux deux compères de s’asseoir.
Puis il commença :
«Bonjour messieurs, je vous attendais.
-Une minute mon gars !! Si tu crois qu’on va rentrer dans tes combines tu te mets le doigt dans l’œil, fit Walter. Et de toute façon on à déjà donné !!! T’auras pas un sous !! Viens Dude je suis sur que ce gars est de mèche avec le type des pompes funèbres ! M’inspire pas du tout !
-Putain Walter tu peux pas la fermer ! fit Dude. »
Dude non plus n’avait pas confiance en cet homme, au premier abord il lui avait semblé l’avoir déjà rencontré. Mais en fait c’est son air « trop poli pour être honnête » qu’il avait déjà vu ailleurs. Oui ! Cet homme lui rappelait Brandt, l’homme à tout faire de l’autre Lebowski, celui par qui tout avait commencé, si on ne les avait pas confondu Donny serait peut être encore là aujourd’hui.
« -Je ne veux en aucun cas vous extorquer de l’argent Mr Sobchak, mais au contraire je vous propose d’acquérir une grosse somme ! Mr Donny Burwell m’a chargé de m’assurer que ses dernières volontés soit remplies et pour cela il à besoin de vous.
-Mais comment ça ? dit Dude de plus en plus intrigué. Quand à Walter il avait arrêté de grommeler à partir du moment où il avait entendu les deux mots « forte » et « somme ».
-Et bien c’est assez simple voyez vous. Donny comme vous l’appeliez était persuadé d’être le père d’un enfant qu’il n’a jamais connu. Cet enfant serait le fruit d’une aventure qu’il avait eu il y a environ une vingtaine d’années, et la femme portant son enfant est parti en France au moment où Donny appris qu’elle était enceinte.
-Hein !! Mais qu’est-ce qu’il raconte ce type ! Donny ?? Papa ??!! Dude tu vois pas que ce type essaye de nous embrouiller !! Tu sais j’en ai rencontré moi des beaux parleurs au Vietnam et lui m’a l’air d’en être un sacré !! Puis je vois pas ce qu’on vient faire dans cette histoire !! Il est pas de nous ce gamin !!
-Hum, j’y viens Mr Sobchak. Donny n’a jamais su de qui il était le père et il voulait si il lui arrivait malheur pouvoir léguer une partie de sa fortune à cet enfant qu’il n’a jamais connu. J’ai bien dit une partie, l’autre partie vous est destinée.
-Formidable ! dit Dude. Et bien allongez la monnaie et on fiche le camp !
-Ce n’est pas si simple Mr Lebowski.
-Dude, moi c’est Dude !
-Euh oui si vous voulez. Comme je disais, il y a une clause qui m’empêche de vous donner cet argent.
-Tu vois Dude je t’avais dis, c’est du pipeau, ce type veut nous baiser !!!
-Pas du tout !! Mais Mr Donny Burwell à spécifié que vous n’aurez cet argent que si vous retrouvez son enfant afin de pouvoir partager avec lui la totalité de l’héritage. Tout ce que j’ai c’est une adresse à Paris, c’est l’endroit où est partie s’installer l’amie de Mr Burwell après son départ de Los Angeles.
-Ben vous savez où vous pouvez vous la mettre cette adresse !!! On va pas allez bouffer des cuisses de grenouilles à Paris pour retrouver un gamin qu’on connaît pas avec une adresse qui à une vingtaine d’années !!! « Walter avait changé de couleur il n’en croyait pas ses oreilles !! »
-Ah oui Mr Sobchak ?? Même pour la moitié de 500 000 dollars ? »
Pour la deuxième fois Walter s’arrêta net de parler. Il regarda Dude, puis maître Rolin, puis de nouveau Dude… Enfin Jeffrey pris la parole :
« - mais attendez, comment Donny aurait pu avoir une telle somme en sa possession ?
-Et bien voyez vous Mr Lebowski. Vous n’êtes pas sans ignorer que Donny avait eu son petit succès dans sa jeunesse en tant que surfeur. Il à remporté quelques championnat de surf, bien sûr cela ne représente pas la somme dont il disposait à son décès, mais cet argent bien placé à fait des petits durant toutes ces années, et Mr Burwell était très économe.
-OK maître on s’en occupe ! On va vous ramener ce petit con par la peau du cul et y’aura plus qu’a distribuer la monnaie !
-Mais Walter t’es sur que… enfin on sait pas quelle tête il a et puis l’adresse est peut être plus bonne…
-T’en fais pas Dude ça sera du gâteau !!! J’ai plan !
-Parfait Messieurs ! J’avais prévu cette éventualité, voici donc 2 allez retour Los Angeles – Paris à vos noms et une enveloppe contenant 5 000 dollars en liquide pour vos frais et pour le billet d’avion de cette jeune personne. Je vous rappel que nous ne connaissons pas le sexe de l’enfant. Voici un numéro où me joindre en France si vous avez un souci et n’hésitez pas à me contacter dès que vous aurez du nouveau, le vol part demain matin.
3 commentaires:
Si y viennent en france, ça serait fun qu'ils rencontrent un groupe de jeunes glandeurs français que nous connaissons bien ;)
j'ai déja ma petite idée mais je pense que dans les comments vous pouvez me filer si vous voulez 2-3 idées de scénar... après je prend ce que je veux je mélange avec mon scénar , un peu de vodka, de lait, de kalua et hop je sors le truc... je pense que tu seras pas déçu par la suite mon gars!
au fait président ! merci pour ton comment, ça me fait plasir de voir que y'a au moins une personne qui lit mon récit! bises
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